Essai écrit par Jules Michelet (1798 – 1874), historien français, publié en 1862 à Paris, présentant une vision romantique de la Sorcière. La Sorcière est considérée, après L’Amour (1858) et La Femme (1859) comme le troisième volet d’une trilogie consacrée par Jules Michelet (1798-1874) à la femme.
Menacé d’être saisie, le livre connait une vague de scandale. Jules Michelet est accusé par ses détracteurs de s’être livré à une apologie du satanisme, et ses amis l’accusent d’obscurantisme.
Pour publie.net, « La Sorcière est un livre de conviction (…) C’est un livre où l’auteur livre ses écœurements devant la bêtise du dogme religieux, la stupidité des inquisiteurs, le gâchis humain que souvent le Moyen Âge livra. Et ses séquelles obscurantistes jusqu’en plein XVIIIe siècle« . Cet ouvrage est la « dénonciation de l’obscurantisme, de la misogynie, de l’exploitation des faibles ».
Une réflexion sur “La Sorcière vue par Jules Michelet”